« Le destin d’un pays dépend de l’éducation de son peuple » dit-on. En phase avec cette célèbre pensée, le Président Patrice TALON porte son ombre comme une vérité inchangeable.
Les résultats de l’examen du Brevet d’Etude du Premier Cycle (BEPC) session unique de juin 2023 ont été rendus public depuis le samedi 8 juin dernier.

En effet, ce n’est ni un rêve ni un canular, mais plutôt l’heure de vérité qui a sonné. Une moisson de 69,21% engrangée au plan national sur l’échelle du succès. Le département du Zou caracole en tête avec 79,36% d’admis. Et l’Alibori sans démériter tient la lanterne rouge avec ses 56,90% de taux de réussite. Cependant, à bien y voir, tous les départements du pays ont eu le mérite de se hisser au-dessus de la moyenne.

Mais, que dire de plus après la lecture de la courbe des résultats du BEPC de 2020 à 2023 qui se dégage comme fruits de la stabilité retrouvée dans nos écoles ? Et que dire de l’école publique qui ouvre et ferme ses portes désormais à bonne date au Bénin ? Indiscutablement, les performances de l’épopée sont en pleine gradation.

Une lecture croisée des résultats du BEPC donne 51,19 % en 2020, suivi de 60,50% en 2021, passant par un taux de 66, 46% en 2022 et 69, 21% en 2023.

L’observation de cette courbe qui se dégage comme fruits de la stabilité retrouvée dans les écoles à partir du verdict du BEPC 2023 démontre une fois encore l’alchimie du Président Patrice TALON dans le moule composite de l’équilibre régional et de l’unité nationale.

En effet, les résultats du BEPC qui viennent de tomber donnent raison au Président réformateur. Et les prémices de l’avenir flamboyant résonnent de leurs certitudes et font davantage fleurir la rose exquise du solennel Nouveau départ.

Sans fausse modestie, il faut marteler que ce produit n’est que le résultat de la dynamique positive impulsée par le ‘’pouvoir Talon’’ au profit de tous les ordres de l’enseignement dans la sainte audace réformatrice sans filtre ni excuse face aux tares et avatars d’un passé qui ne donnait aucun avenir certain. C’est aussi ça la belle alchimie du chantre de la rupture dont le grain d’espoirs et la semence d’espérances fécondés traversent ce précieux temps du nouveau départ.

Bertin Djitrinou